• Et c'est pas que j'ai rien à faire, au contraire c'est parce que j'ai à faire.

    Les choses « utiles » sont emmerdantes.

    Je suis un branleur par nature.

    Tiens d'ailleurs je vais aller me branler.


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  • Immonde est immonde.

    Et Immonde a une femme.

    La Femme d'Immonde est douce comme le miel, comme la soie.

    La Femme d'Immonde est belle comme une nuit de pleine lune.

    La Femme d'Immonde est brillante comme la lune dans une nuit de pleine lune.

    La Femme d'Immonde aime Immonde, profondément, dévotement, désespérément, bref, amoureusement.

    La femme d'Immonde sait qu'Immonde est immonde.

    Mais la Femme d'Immonde ne peut pas s'empêcher d'aimer Immonde, profondément, dévotement, désespérément, bref, amoureusement.

    La Femme d'Immonde aime tout chez Immonde, même ce qu'elle déteste.

    Elle aime quand Immonde la fait rire.

    Elle aime quand Immonde lui apprend la vie, les choses.

    Elle aime quand Immonde la regarde tendrement.

    Elle aime quand Immonde la serre dans ses bras quand ils dorment.

    Elle aime sucer la queue d'Immonde avec application et savourer le goût de son foutre immonde.

    Elle aime quand Immonde lui lèche la moule avec conviction en lui doigtant tous les trous.

    Elle aime quand la queue d'Immonde se fraye son chemin dans sa chatte serrée.

    Elle aime suggérer à Immonde de la défoncer plus fort quand Immonde la joue langoureux.

    Elle aime se mettre en levrette pour sentir la queue d'Immonde buter au fond de sa chatte.

    Elle aime jouir en gémissant quand Immonde lui agrippe les cheveux en accélérant ses coups de boutoir.

    Tout cet amour terrorise Immonde : qu'a-t-il fait pour le mériter ? Cet amour est la douce prison d'Immonde.

    Immonde ne peut pas s'empêcher d'aimer cet amour, cette douce prison.

    Mais Immonde ne peut pas non plus s'empêcher de penser que cette douce prison est malgré tout une prison.

    Immonde ne sait pas ce qu'il veut.

    Alors Immonde est immonde.

    <o:p> </o:p>

    (Spécial dédicace à DTFG et à Lilly )


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  • Comme beaucoup se sont inquiétées, acceptez mes plates excuses.


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  • Je suis dans une drôle d'humeur, genre j'ai presque envie de démarrer au whisky à 10 heures du matin. Pourtant je ne me sens pas particulièrement déprimé, enfin pas plus que d'ordinaire. Faut dire que chez moi la « déprime » est une seconde nature, une constante à laquelle j'ai appris depuis bien longtemps à m'accommoder.

    Bon bougez pas, je reviens...

    Bon, allez, faut toujours se fier à la première impression, nous dit-on (en fait c'est une belle connerie, mais passons...) donc je me suis servi ce whisky.

    Et donc, la déprime et moi ; la déprime et ce monde déprimant... Ce matin j'ai fait un tour sur les blogs de Cosmic Dancer et de Dentifiricegirl, « la connasse ». Et ce que j'ai vu m'a déprimé.

    D'abord chez Cosmic, ces commentaires haineux , incompréhensibles vitupérations du niveau pré-scolaire « T'es moche caca-boudin » ces malades me font marrer à double titre... D'abord parce que « C.D. », d'après les indications de sources plutôt crédibles a la réputation d'être une bombe, mais surtout, qu'on s'en fout totalement de son physique, C.D. N'est pas un corps (!) ici, mais une voix bloggueuse, et l'une des plus belles d'entre elles. Alors que cette voix émane d'une naine difforme et édentée ou d'une Miss Univers en puissance, n'a fichtrement aucune espèce d'importance. En fait, je crois savoir pourquoi « ils » la haissent autant : pure jalousie, C.D. a un talent rare de littératrice. Un style échevélé que pour lui arriver à la cheville, t'as intérêt à t'accrocher. Je ne le cache pas : je suis aussi jaloux de son talent, mais je laisse mon plaisir de lire ses mots prendre le dessus sur toute négativité.

    Bon, ensuite DTFG « la connasse » nous a pondu ce billet poignant . Détresse? Rage? Moment de faiblesse? Je n'en sais rien, je suis juste un peu inquiet, car voilà deux jours qu'on ne la voit ni ne l'entend plus sur bloggland. Reviens nous, petite connasse!!! En fait c'est marrant mais ce qu'elle dit, je le vis en moi, cette aversion pour les grands sentiments qui pousse à une espèce de rigidité. Je devais avoir dans les 16-17 ans quand j'ai commencé à glisser sur ce chemin que depuis je n'ai jamais quitté. Rigidité comme celle des cadavres. On est tous de futurs cadavres. Alors quelque fois, certains d'entre nous anticipent cet état : rigidité cadavérique  de l'esprit.


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  • C'est un peu a mon corps défendant que je ponds cette note, mais je kiffe grave cette femme, une Présidente aussi classe et sexy ça aurait quand même de la gueule !

    Maintenant, compte tenu de ce que l'on sait d'elle, j'imagine que ça la fait chier un max que tant de gros porcs dans mon genre bandent pour elle... Ah, ces gaulles : Haine !

    <o:p> </o:p>

    Pour le plaisir des yeux concupiscents, d'autres photos qui me font craquer :

    <o:p> </o:p>

    Celle-ci est marrante, on dirait qu'elle sa mise la met mal à l'aise... Ah ces genoux (Un kleenex pour effacer cette bave sur mon clavier, siouplait !)

     

    Ca, c'est sa moue méprisante... qui m'excite tellement, retenez-moi !

     

    Et ce sourire, bordel, ce sourire...

     

    Ici on dirait qu'elle se fout de la gueule de Nicolas Culot... qui n'est pas dupe !

     

    Une dernière pour la route...


    <o:p>
    </o:p>Bon faites pas les cons, votez pour elle. Ca vaut bien mieux que l'autre « gnome d'Etat » ou le démago-aux-chevaux...


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