• Se comporter comme un(e) sous-merde envers son/sa partenaire est un sport international extrêmement répandu. Aux USA, des études sérieuses annoncent qu'a un moment ou un autre, statistiquement, 50 à 60% des hommes mariés trompent leur femme et 45 à 55% des épouses cocufient leur conjoint, et cela ne porte que sur les couples mariés, de plus c'est le genre de sondage sur lequel il y a probablement beaucoup de menteurs qui n'avouent pas. On peut en conclure qu'au moins la moitié de l'humanité est composée d'enfoiré(e)s (en fait moi je dis la quasi-totalité pour une raison ou pour une autre)... Mais peut-être bien aussi que la monogamie est une connerie : en effet, il semblerait d'après les mêmes statistiques qu'en fait le cocufiage concerne au minimum 80% des couples mariés.

    Du coup ça me laisse rêveur et perplexe sur la croyance en une prétendue solidarité féminine chère à ma connasse préférée : si 60% de ces enculés de mecs niquent en dehors de leur couple, cela laisse entendre qu'il devrait y avoir une proportion plus ou moins équivalente de salopes pour consentir à se faire un type déjà maqué...

    En fait, selon toute logique, les femmes n'ont aucune bonne raison d'être solidaires entre elles, puisqu'elles sont au départ en compétition pour « avoir » les meilleurs partenaires, les « mecs bien » (bel oxymore !) et cette compétition est de loin plus féroce que celle qui oppose les mecs entre eux dans la quête de l'âme sœur pour deux raisons : 1) il y a peu de « mecs bien », 2) les femmes sont difficiles.

    Je trouve assez absurde, par ailleurs, de considérer la dénonciation de l'homme adultère à sa partenaire comme une marque de solidarité : ce qui fait du mal à la femme trompée, n'est pas en soi les fornications illégitimes de son partenaire mais la connaissance qu'elle en a. Il n'est pas rare que la « copine » qui dénonce ne le fasse pas avec les motifs les plus bienveillants : la déjà cocue se fait un plaisir de trouver en la victime une nouvelle camarade de souffrance, l'envieuse se délecte de la dévastation de cette chieuse à qui tout réussit, le fin du fin de la perfidie revenant à celle qui se précipite pour ensuite mettre le grappin sur le mari volage (mais riche et sexy...).

    Méfions nous des femmes solidaires...

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  • Cosmic en string se promenait sur les rives de ma raison.

    Dans la raie, la ficelle n'en menait pas large : elle fit celle qui ne se doutait de rien. Il est vrai que les aptitudes olfactives d'une ficelle sont fort limitées. Qui plus est, la ficelle est insensible aux chaleurs, si moites fussent-elles.

    Cosmic dandinait des fesses en polycéphale callipyge, coinçant la ficelle de plus belle dans d'indistincts recoins, elle s'y frottait sans s'y piquer.

    Des étoiles dansaient devant mes yeux.


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  • J'aime pas l'amour. L'ai toujours tenu à respectueuse distance, vade retro !

    Rien ne me fait autant chier que les amoureux(ses), cette manière qu'ils ont de ramener l'univers entier à leur petit délire pas si inoffensif que ça...

    Ne vous y trompez surtout pas : l'amour est dangereux, et pas seulement au figuré, beaucoup sont morts d'amour et nombreux aussi ceux qui ont succombé à l'amour qu'on leur portait. En vérité, la haine n'est qu'un succédané de l'amour, les deux participent du même type d'aveuglement autosuggéré.

    Etre misanthrope est tellement rassurant... Ma misanthropie n'est pas la haine des autres, elle est plutôt leur négation ; objectification des êtres. A ce titre on devient incapable d'amour ni de haine, on se promène dans l'humanité à la manière d'un entomologiste. Je collectionne les personnalités humaines comme d'autres les papillons. Je les épingle dans un cadre virtuel qu'est mon âme. Je m'imprègne de leur sentimentalité visqueuse.

    Voila : je baigne dans vos pensées, elles deviennent les miennes. Je deviens vous. Et je ne m'aime pas.


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  • L'ambivalence est ma vocation : Misanthrope et amoureux de l'humanité, misogyne et féministe, libertaire et totalitaire etc. Il me semble que quand on cherche à réellement comprendre les gens et les choses, on devient nécessairement schizophrène car il y a toujours tant de bonnes raisons à tout et à son contraire...<o:p>
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    Ma relation aux blogs ne déroge pas à cette ambivalence : je suis convaincu que le phénomène des blogs perso est intimement lié à la culture Loft-Story que j'exècre, pourtant je n'arrive pas à m'empêcher de naviguer au hasard de ces blogs, et ô ! horreur ultime, m'y sentir bien. Quand à moi-même, j'ai six ( !) blogs plus ou moins actifs dont trois sur cette plate-forme, tous aussi anonymes les uns que les autres, schizophrénie, encore.<o:p>
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    J'ai une préférence marquée pour les blogs de nanas. Sauf rares exceptions, les mecs blogueurs sont profondément inintéressants : soit ils sont désespérément mecs, buveurs de bière devant le match de foot à la TV, soit ils sont profonds et s'attaquent à des sujets qui n'intéressent personne. Les mecs profonds sont emmerdants et emmerdeurs, moi je dis, la seule profondeur qui siée à un homme, c'est celle de sa pénétration dans la position de la levrette, mais comme je suis hétérosexuel, je n'en trouve pas l'usage.<o:p>
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    Je vous offre aujourd'hui de partager quelques bonnes adresses de blogs féminins, plus ou moins célèbres d'ici et d'ailleurs, histoire de leur faire de la pub, de lécher leur cul rebondi et de casser un peu de sucre sur leur (bas du) dos.<o:p>
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    Cosmic Dancer

     Alias la présidente « Cosmicolène qui est une des meilleures d'entre nous. Si ce n'est la meilleure. (Cirdan) »

    Excellente femme de lettres aux textes déjantés, à la personnalité complexe et peut-être bien un peu complexée aussi (mais qui ne l'est pas...), pasionaria anti-islam à un point parfois irritant, par sa révolte si entière qu'elle en devient parfois totalitaire... Lire du Cosmic c'est faire un pas vers la liberté. Dommage qu'on ne voie pas ses fesses...

    Cosmic a cette particularité d'avoir demandé aux administrateurs de www.blogg.org de retirer son blog de la liste du blog-pop, ça m'énerve quand on sait à quel point il est dur de faire progresser une audience.

    Dentifricegirl

     Alias DTFG, une connasse de 23 ans qui se défoule. Le charme irrésistible de sa prose n'a d'égal que sa vanité sans limite de femme fatale en devenir. DTFG symbolise tout ce qu'un homme peut détester chez la gent féminine et pourtant on ne parvient pas à la trouver antipathique. La seule évocation de cette nana provoque chez moi une intense pulsion de fessée. Comme je n'ai personne d'autre que moi-même sous la main, DTFG peut se targuer d'avoir créé un blog qui me fait mal au cul. On peut lui adresser le reproche mineur de ne pas suffisamment soigner sa syntaxe, mais c'est le genre de travers qu'on pardonne facilement à l'heureuse porteuse d'une aussi craquante bouche de pipeuse. Dommage qu'on ne voie pas ses fesses...

    Full-ovaire

     Nikoo, je kiffe sa bouche, son blog pas mal non plus, mais le souci c'est que j'y comprends que dalle ou presque. Son truc c'est d'écrire des trucs qui, apparemment n'intéressent qu'un petit cercle d'initiés, dont je ne fais pas partie. Il n'empêche que c'est bien écrit, ce blog procure le même genre de plaisir que la contemplation d'une bonne œuvre d'art abstrait : on sent que c'est bien foutu mais on ne sait pas ce que c'est. Nikoo fait aussi de sympathiques photos. D'aucuns la disent canon. Dommage qu'on ne voie pas ses fesses...

    Jen-la-bobo

     Jenny est bobo, parisienne, c'est dire si elle accumule les tares. Elle reconnaît être « un peu con », le « un peu » étant tout à l'honneur de sa modestie. Dommage qu'on ne voie pas ses fesses... En revanche, on peut voir ses échantillons d'urine...

    Volubilis

     Volubilis raconte sa vie sexuelle monogame avec une franchise et une fraîcheur, jamais vulgaire mais toujours ultra-bandante, sa littérature est attachante  et tachante. On voit ses fesses. Elle a aussi un blog parallèle ou ça parle moins de cul.

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  • Parce que je suis un frustré. Dès que je vois une fille jolie (comme par exemple une certaine connasse à la lèvre inférieure visiblement moelleuse au gland), j'ai instantanément envie la niquer, mais cela se réalise rarement, pour mille raisons : trop timide et insécure, pas beau, pas musclé, pas plein aux as ou tout simplement pas au bon endroit au bon moment.

    Alors, tant de concupiscence inassouvie, mes bien chers frères et sœurs, ça vous mène tout droit à l'immonditude.

    J'sais bien, c'est pas en immondant que j'en niquerai plus, mais putain ! ça fait du bien !!


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